« L’objectif principal pour l’ASPT est de participer à bâtir une nouvelle culture citoyenne de prise en charge de l’environnement et du cadre de vie, en particulier dans nos sites touristiques », a déclaré Papa Mahawa DIOUF, Directeur Général de l’ASPT. Selon lui, le cadre de vie est devenu un enjeu incontournable des politiques publiques, car, étant un levier majeur de compétitivité et d’attractivité territoriale.
« Le tourisme comme vous le savez sans doute, est un secteur capital pour le développement socioéconomique du Sénégal, et représente la deuxième source de devise du pays avec une contribution de près de 6 % dans le PIB national. Chaque année, des quantités importantes de déchets plastiques se retrouvent dans nos océans, nos cours d'eau et sur nos belles plages », dit-il.
Pour M. Diouf, la mise en place, dès le lendemain de la pandémie, de protocoles sanitaires dans tous les établissements touristiques, sera renforcée à travers ce partenariat, par un programme de promotion « Sénégal zéro déchet » pour renforcer l’attractivité du Sénégal. « C’est dire que notre volonté mutuelle de synergie d'actions sera matérialisée à travers des activités conjointes, durant toute l’année, telles que des campagnes de nettoiement dans les sites touristiques majeurs et de sensibilisation, à travers le programme ‘’Yété’’ ».
Poursuivant ses propos, le patron de l’ASPT ajoute : « Il s’agit de promouvoir des sites et des pôles Touristiques propres à même de pouvoir améliorer l’attractivité de la destination Sénégal. Parce que le tourisme n’a pas d’objet propre. C’est la culture, l’environnement,…c’est beaucoup d’autres points qui font que le pays fini d’être attractif. Mais il faut dire ici que dans le cadre de l’étude de faisabilité sur le développement du secteur du tourisme d’affaire dans le pays, la première phase de l’étude de faisabilité met en point numéro 1, le cadre de vie. Le point n°1 du facteur risque qui peut être un frein au développement du secteur d’image, qui constitue en termes de chiffre d’affaires mondial, 1000 milliards de Dollars dans le monde. Et l’Afrique ne capte que 3 % de cette économie-là. Et sur ces 3 % que capte l’Afrique, le Sénégal ne capte que 1,2.
Mass THIAM, Coordonnateur de l’Unité de Coordination de la Gestion des déchets solides (UCG), appelle à l’unité, pour aller vers une « Téranga zéro déchet ».
« Nous avons signé un contrat qui a une durée d’un an, qui est renouvelable. Cette convention a pour objet de nous permettre de contribuer à l’amélioration du cadre de vie de l’ensemble des zones touristiques du Sénégal. En particulier les plages. Il est important qu’ensemble que nous unissions nos moyens pour améliorer nos cadres de vie. Partant du constat que les touristes qui viennent au Sénégal sont toujours de nouveaux touristes, il faudra qu’on aille vers une Téranga zéro déchet, où les gens auront l’envie de venir travailler », estime Monsieur Thiam.
« Le tourisme comme vous le savez sans doute, est un secteur capital pour le développement socioéconomique du Sénégal, et représente la deuxième source de devise du pays avec une contribution de près de 6 % dans le PIB national. Chaque année, des quantités importantes de déchets plastiques se retrouvent dans nos océans, nos cours d'eau et sur nos belles plages », dit-il.
Pour M. Diouf, la mise en place, dès le lendemain de la pandémie, de protocoles sanitaires dans tous les établissements touristiques, sera renforcée à travers ce partenariat, par un programme de promotion « Sénégal zéro déchet » pour renforcer l’attractivité du Sénégal. « C’est dire que notre volonté mutuelle de synergie d'actions sera matérialisée à travers des activités conjointes, durant toute l’année, telles que des campagnes de nettoiement dans les sites touristiques majeurs et de sensibilisation, à travers le programme ‘’Yété’’ ».
Poursuivant ses propos, le patron de l’ASPT ajoute : « Il s’agit de promouvoir des sites et des pôles Touristiques propres à même de pouvoir améliorer l’attractivité de la destination Sénégal. Parce que le tourisme n’a pas d’objet propre. C’est la culture, l’environnement,…c’est beaucoup d’autres points qui font que le pays fini d’être attractif. Mais il faut dire ici que dans le cadre de l’étude de faisabilité sur le développement du secteur du tourisme d’affaire dans le pays, la première phase de l’étude de faisabilité met en point numéro 1, le cadre de vie. Le point n°1 du facteur risque qui peut être un frein au développement du secteur d’image, qui constitue en termes de chiffre d’affaires mondial, 1000 milliards de Dollars dans le monde. Et l’Afrique ne capte que 3 % de cette économie-là. Et sur ces 3 % que capte l’Afrique, le Sénégal ne capte que 1,2.
Mass THIAM, Coordonnateur de l’Unité de Coordination de la Gestion des déchets solides (UCG), appelle à l’unité, pour aller vers une « Téranga zéro déchet ».
« Nous avons signé un contrat qui a une durée d’un an, qui est renouvelable. Cette convention a pour objet de nous permettre de contribuer à l’amélioration du cadre de vie de l’ensemble des zones touristiques du Sénégal. En particulier les plages. Il est important qu’ensemble que nous unissions nos moyens pour améliorer nos cadres de vie. Partant du constat que les touristes qui viennent au Sénégal sont toujours de nouveaux touristes, il faudra qu’on aille vers une Téranga zéro déchet, où les gens auront l’envie de venir travailler », estime Monsieur Thiam.